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Témoignages de patients


Patiente en souffrance générale


Quelques années après une longue psychothérapie, prise en charge par un psychiatre, je n’étais pas satisfaite de mon état général.
Sur les conseils de mon médecin traitant, j’ai pris rendez-vous avec Françoise Lavrard, analyste en psychocorporalité positive et sophrologie caycédienne .

Je souffrais, à l’époque (nov 2016) de problèmes non-réglés handicapant ma vie :
-Le deuil très difficile de ma soeur, plus jeune que moi de 15 mois.
-Un surpoids ancien
-Une addiction au vin rosé, jamais avouée jusqu’à maintenant à mon généraliste .
-La prise de calmants et de somnifères.

Peu à peu, à raison de séances d’une heure et demie, espacées d’environ 15 jours, nous avons entamé une analyse psychocorporelle positive .

Grace à une écoute bienveillante et très attentive, en même temps qu’un échange systématique entre Françoise Lavrard et moi, (système de rebondi et de validation de ce qui est dit pour rester dans la justesse ) j’expose mes problèmes, mes difficultés de vie et j’avoue mon addiction, sans me sentir jugée .

A chaque fois, nous mettons en place des objectifs concrets. Exemples de ce coaching :
-Participer à un atelier d’écriture. (ce qui est devenu une passion ! )
-Remise en forme impliquant un programme de diététique et d’activités sportives. (avec aussi , des massages pour mieux prendre conscience de mon corps )
-Trouver ma place (matérielle et psychologique) et exister en tant que telle.

Déroulé d’une séance :
-Ecoute active d’une récapitulation des 2 semaines passées,
-Du changement opéré grâce à mon entrainement quotidien en sophrologie caycédienne et aux objectifs mis en place.
(Le quotidien fait parfois remonter des problèmes du passé , qui sont pris en compte immédiatement le temps de la séance, de façon à expulser tout le négatif qui est lié à la situation .)

Puis mise en place de protocoles de sophrologie caycédienne, et d’une méthode particulière de maîtrise du mental , créé par Françoise Lavrard .
-Divers enregistrements suivant la problématique du jour, faits sur le dictaphone de mon Iphone, pour que je puisse les refaire chez moi, m’en imprégner et les utiliser pour diminuer les anxiolitiques, calmer une situation de stress et me retrouver dans le calme , hors des soucis « qui ne sont pas les miens » .
-pour être et vivre en pleine conscience.
-c’est La vivance (que je découvre avec enthousiasme ! ) : état sophroliminal qui permet de modifier sa conscience et d’aller puiser dans notre être toutes les empreintes et les potentiels . Je découvre ainsi que je peux , grâce à la pleine conscience , agir sur mon corps pour trouver le calme, l’écouter et visualiser des images positives qui m’aideront dans ma progression et mes objectifs , par ex : « me voir légère sur un chemin » « la sensation agréable de boire de l’eau claire et rafraichissante d’un torrent …etc.

Tout ceci avec l’accord de mon médecin traitant, et son suivi régulier .

Actuellement, je peux faire un bilan positif des séances et je comprends toute la mesure de la prise en charge analytique et sophrologique du travail mis en place et que je poursuis :
-Je me suis totalement libérée de mon addiction au vin rosé.
-J’ai diminué par deux les calmants en gérant mieux mes angoisses, et mon sommeil.
-La mort de ma soeur n’est plus une cruelle absence, ni une culpabilité.
-J’assume mieux mon passé : ce qui était une culpabilité et une interrogation est devenu « des bulles de champagne de mon histoire de femme ….pour faire pétiller le présent »!

-Non seulement j’ai perdu du poids, mais je prends soin de moi et j’aménage ma vie quotidienne, familiale et relationnelle toujours de façon positive.

A une période de ma vie, j’ai eu besoin d’un travail psychothérapeutique. Il était alors indispensable. Mais mon ressenti actuel est un travail différent , partagé , accompagné , où le corps surtout n’est pas oublié, mais partie prenante des progrès .

Je remercie Françoise Lavrard pour son écoute inlassable, patiente et libératrice, pour son intuition, son optimisme et sa gaité communicative ! Je compte approfondir encore sa méthode que j’ai découverte peu à peu, et qui me permet d’être en confiance, d’avoir l’estime de moi -même et d’exister en étant actrice positive de ma vie.

© Françoise LAVRARDMentions légales

Patiente souffrant d'un trouble anxieux


Il est difficile de témoigner. Mais pour la première fois j’estime que cela peut être utile : si mon expérience, ma guérison peut servir à d’autres…
Mme Lavrard m’a été recommandée par un des nombreux spécialistes qui me suivaient. En effet, il m’était arrivé un « accident de vie », une maladie grave dont il est très difficile de s’en sortir tant physiquement que psychiquement. J’y suis donc allée, curieuse ; la dernière fois que j’avais fait une séance de sophrologie ne s’était pas révélée très « utile ».

Alors qu’ici, tout est différent : Mme Lavrard a développé une méthode unique alliant une phase d’analyse puis de la psychologie positive, des techniques comportementalistes le tout soutenu pas des exercices de sophrologie.
Cela paraît pompeux décrit ainsi… Mais en résumé, à chaque fois que je ressors d’une séance, je me dit que c’est une véritable magicienne.
Grâce à sa bienveillance et la confiance qu’elle a su instaurer grâce à une réelle écoute, elle propose des solutions pour « changer son regard », diminuer les angoisses, modifier certains comportements pathologiques, certaines vieilles habitudes tenaces dont je croyais ne jamais pouvoir me débarrasser. Pour cela une vraie discussion s’installe. Elle ne propose pas des solutions miracle mais des outils qu’il faut s’approprier.

Certains sont très efficaces, d’autres fonctionnent moins. C’est par l’usage, l’expérience qu’on s’en rend compte. A chacun sa façon de se soigner avec son vécu, son ressenti. Ainsi, on réadapte les outils d’une séances sur l’autre. Je suis toujours entrée avec des problèmes qui me semblaient insolubles et suite à la discussion, aux propositions, aux exercices proposés, je resors toujours avec des solutions, les idées claires et limpides.

Cela demande ensuite un travail de tous les jours. C’est une réelle pratique de vie à mettre en place. Ce qu’elle propose n’est pas sans effort, mais cet effort est moindre car on voit rapidement les effets très positifs. Ainsi, grâce à sa méthode, on peut « reprogrammer » son cerveau et ses mécanismes de pensée pathologiques. Mais cela n’est pas purement théorique. Cela passe par des exercices alliant le corps et la concentration de l’esprit. Cette alliance corps/esprit est rare dans notre monde moderne et cela est très bénéfique d’en faire l’expérience au quotidien.

Les séances me sont précieuses et m’apportent beaucoup. Je pense réellement que cette méthode, pour un peu que le patient soit ouvert à cette technique, peut se révéler très efficace dans un premier temps pour aider à la guérison, et peut à long terme modifier son équilibre pour une vie beaucoup plus sereine au quotidien.

© Françoise LAVRARDMentions légales

Patiente atteinte d'un lymphome de Hodgkin


Tout à commencer en avril 2015 lorsque je me suis aperçue que j'avais une boule à la base du cou. Je consulte alors mon médecin traitant et elle me prescrit une échographie à faire.
L'échographie révèle un gros ganglion de 4 cm au plus long ce qui est assez énorme toutefois le médecin minimise la situation en me disant que ce n'est rien. Je retourne voir mon médecin qui me prescrit cette fois un scanner sur tout le corps. Le scanner révèle d'autres ganglions au niveau médiastinal mais toujours pas d’inquiétude de la part des médecins.

Mon médecin m'envoie vers un ORL qui décide de retirer le ganglion dans le cou sans biopsie au préalable car facile d'accès et l'analyse permettra d'établir un traitement afin d'éliminer les autres ganglions impossible à retirer.
Il me rassure, ce n'est rien.
Je passe 5 jours à l’hôpital puis de retour chez moi je patiente une semaine et comme convenu avec l'ORL je l'appelle pour avoir les résultats.

Et là le verdict tombe...
Lymphome de Hodgkin stade 2, autrement dit un cancer du système lymphatique.

Je ne réalise pas, je ne comprends pas. On est début septembre depuis avril on m'assène que ce n'est rien et finalement j'ai un cancer...

Un cancer...

J'ai 36 ans je n'ai pas encore d'enfant et j'ai peur...
Je revois l'ORL le lendemain et il me prend rendez-vous chez un spécialiste des lymphomes que je vois quelques jours après.
Pour la première depuis le début je me sens entre de bonnes mains. Il me rassure en me disant que ça se soigne très bien tout en m'expliquant la réalité des traitements et des effets secondaires que provoque la chimiothérapie et la radiothérapie. Heureusement je ne suis pas seule dans cette épreuve et mon compagnon est d'un soutien indéfectible.

J'ai également la chance de connaître Françoise.

Quand je lui annonce ma maladie elle me propose de la voir rapidement afin de me faire une séance ciblée ; une préparation à la chimiothérapie. J'étais terrorisée par cette chimio et des effets sur le corps.

Françoise démarre la séance par une sophrologie de base sur le relâchement des systèmes puis enchaîne sur la visualisation de ma future chimiothérapie.

Elle me plonge dans une journée type de séance de chimio puis m'invite à visualiser les choses ; c'est la visualisation créative. Les produits utilisés pour ma chimio deviennent des « gouttes de vie » et m'apparaissent tout de suite beaucoup moins agressifs.
Puis je dois visualiser mes bonnes cellules, de parfaites guerrières cellules macrophages prêtent à combattre les mauvaises cellules à les dévorer puis les digérer. Je dois également construire avec mon imaginaire des « barrières » pour éviter aux gouttes de vie d'aller n'importe où et de leur tracer un chemin afin qu'elles ciblent les mauvaises cellules.

A la fin de cette séance je suis apaisée, détendue, relaxée et surtout je ne vois plus la chimiothérapie comme toxique mais comme une alliée qui va m'aider à combattre cette maladie.
Françoise s'est enregistrée pendant cette séance et elle me recommande de l'écouter tous les jours pour me préparer parfaitement.
C'est ce que j'ai fais tous les jours pendant pendant près d'un mois avant que ne démarre mon traitement car il y a beaucoup d'examens à faire pour établir le parfait traitement du lymphome.

Quand le jour fatidique de la 1ère cure arrive, j'appréhende bien sûr mais je me repasse l'enregistrement de Françoise dans ma tête et ça m'aide à me détendre.

Le traitement a duré 6 mois et je l'ai vécu de la meilleure façon possible :
pas de perte de cheveux 
aucune nausée ni vomissement
aucune douleur articulaire et musculaire
aucune douleur dans la bouche
pas de perte de poids
pas de perte de goût

Aujourd'hui après 8 séances de chimiothérapie et 15 séances de radiothérapie je suis en rémission totale et je peux dire que la sophrologie m'a permis de vivre normalement pendant mon traitement et ainsi de profiter de la vie même pendant la maladie.

Merci Françoise...

R.........

© Françoise LAVRARDMentions légales

Patiente souffrant d'un manque de confiance en soi


Depuis longtemps je souffre d’un manque de confiance en moi.
J’ai une image négative de ma personne. J’angoisse beaucoup pour plein de choses, petites ou grandes. Pour compenser mes émotions négatives, je mangeais beaucoup, surtout du sucré, et j’étais devenue obèse.

Comme je n’arrive pas à évoluer dans mon travail, et que de toute façon je ne m’y sens pas bien, j’ai effectué en 2013/2014 une licence professionnelle dans le cadre d’un Fongécif.
Avant de chercher un emploi avec le diplôme obtenu, j’ai décidé de m’occuper enfin de ce problème de poids, qui m’apportait des problèmes de santé et me menaçait d’autres plus graves, et me renvoyait une image négative de moi.
En début 2015, j’ai donc été opérée : on m’a fait un by-pass. J’ai beaucoup maigri. A présent, je me sens mieux dans mon corps, et j’ai commencé à chercher un autre emploi.

Mais mon manque de confiance en moi et mes capacités, pourtant validées par un diplôme, me bloquait. J’avais des angoisses : peur de ne pas trouver de travail, mal-être à mon travail actuel. J’avais aussi très peur de recommencer à grignoter pour gérer mes émotions et de reprendre tous mes kilos.

Mon nutritionniste m’a alors conseillé d’aller voir Madame LAVRARD. J’ai été suivie par le passé par une psychologue, cela m’avait fait beaucoup de bien, mais je sentais que cela n’aurait pas suffi cette fois. J’ai donc accepté d’essayer la sophrologie.

Lors de ma première séance, après une discussion sur la motivation de ma venue, j’ai appris la respiration trois phases, afin de me relaxer rapidement.
J’ai appris que je « savais respirer » et pouvais m’en servir pour m’aider à mieux dormir la nuit, et me calmer en cas de stress.
Les séances, toutes les deux ou trois semaines, commençaient toujours par une discussion sur les évènements passés lors de ces deux ou trois semaines, sur mon état mental du moment.
Les séances se poursuivaient ensuite par divers exercices adaptés à ma situation: deux enregistrements à écouter chez moi pour me relaxer et pour évacuer toutes les émotions négatives accumulées ; des exercices corporels pour évacuer les tensions, retrouver mon équilibre mental, et changer mes émotions négatives en émotions positives.

Au fil des séances, j’ai progressivement repris confiance en moi. J’ai eu un passage à vide où j’ai bien cru que j’avais fait tout ce travail pour rien, mais après un arrêt de travail et du repos, je me suis sentie mieux et ai continué la sophrologie. J’ai avancé dans ma démarche de recherche d’un nouvel emploi.

Aujourd’hui, j’ai encore du travail à faire sur mon manque de confiance et mes émotions, mais j’ai à présent des outils à ma disposition. Les exercices sont à faire quotidiennement pour que cela porte ses fruits, et là, je ne suis pas très régulière.
Mais ces exercices me font du bien, je persévère donc, ça prendra du temps, mais c’est du temps pour moi.

D.......

© Françoise LAVRARDMentions légales

Patiente en manque de confiance


J’ai débuté mes séances de Sophrologie avec Françoise Lavrard en Octobre 2015. Je suis venue la voir sur les conseils d’une amie qu’elle suivait également.
Ma demande en me rapprochant de la Sophrologie était d’avoir des résultats visibles pour moi "relativement rapides" au vu des difficultés que je ressentais et qui me bloquaient dans mon parcours au quotidien.
J’avais auparavant consulté une psychologue et cette expérience m’a laissé un goût amer de perte de temps.

La pratique sophrologique de Me Lavrard est complémentaire de son approche analytique. Ce qui pour moi représentait la prise en charge qui me convenait.
Nos rendez-vous duraient 1h30 avec un long temps d’échanges et de mots sur mes ressentis, mon vécu (ancien et inter séances), les évènements ou expériences positifs ou moins et les avis ou conseils qu’en tant qu’analyste elle pouvait me procurer.
Ensuite venaient les techniques sophrologiques à proprement parler et l’assurance qu’en sortant de son cabinet, j’avais des outils pour progresser positivement sur le chemin que je souhaitais être le mien.

Je suis venue la voir pour les difficultés que je rencontrais à être en confiance avec moi- même et donc avec les autres.
Cela engendrait chez moi une grande tristesse, de la culpabilité et un blocage à faire des choix existentiels et à les réaliser par peur de l’inconnu et de l’échec.
Tour cela affectait ma vie de couple et de famille et entraînait des répercussions au niveau professionnel.

Nous avons débuté notre travail ensemble après une verbalisation de mes problèmes, par des exercices de respiration et de prise de conscience de mon corps et de son existence.
Un retour à soi qui malgré les pensées intrusives fréquentes puis de moins en moins s’est approfondi au cours des séances au point de vivre de belles expériences et de cumuler des sensations progressivement positives et agréables.
J’ai apprécié les techniques de retour à soi et à sa corporalité à chaque début de pratique qui me plongeaient dans un état vigile entre veille et sommeil suivies d’exercices spécifiques à ma propre problématique qui éveillaient au fur et à mesure de mes entraînements toutes les capacités présentes mais non conscientes.
J’ai aimé ouvrir les yeux en fin de séance sur un monde différent.

Nous nous sommes vues 9 fois à raison d’une séance toutes les 2 à 3 semaines. Ce délai m’a semblé de prime abord très long et même incompréhensible.

J’ai très vite compris que cela ne pouvait être autrement vu les pratiques enregistrées que je ramenais à la maison et qu’il fallait expérimenter encore et encore pour s’imprégner des ressources et de leurs bienfaits propices au changement désiré.

J’ai compris que la Sophrologie est un entraînement existentiel quasi quotidien, une hygiène de vie comme peut l’être une alimentation saine et une activité physique. J’ai également compris que la sophrologue est là pour nous transmettre ces outils et nous guider vers l’autonomie de la pratique et de l’utilisation appropriée de nos ressources.

La Sophrologie nécessite un réel investissement, un temps régulier à lui consacrer et elle deviendra ainsi une valeur sûre pour se découvrir et vivre une vie en toute conscience et en accord harmonieux avec ses propres aspirations profondes.
Une vie pleine de bien-être, de joie, d’espoir, de sérénité et de réalisations réussies.

La Sophrologie m’accompagne chaque jour et même si parfois je me laisse déborder par des moments de vie que je dirai aigus, je sais qu’elle est là et que je vais pouvoir utiliser les ressources « acquises » pour en ressentir les effets positifs.

Au cours de ces neuf séances, j’ai trouvé des réponses précises à des questions intérieures. La perception de ma vie et de mon environnement s’en est trouvée modifiée.
J’ai merveilleusement compris que j’étais actrice de ma vie et du sens que je voulais y mettre (j’ai la possibilité et les capacités de la transformer pour qu’elle soit à l’image de ce que je souhaite).
J’ai entrevu que j’interprétais chaque chose en fonction de mon vécu, des croyances et valeurs qui me guidaient jusque là mais qui sont la résultante de mon histoire et pas intrinsèquement les miennes et que l’interprétation que je me faisais n’en était qu’une et donc ni vraie ni fondée.
J’ai pris conscience des énormes potentiels positifs de transformation que j’ai en moi et que je peux faire surgir, travailler et faire fructifier pour une harmonie existentielle.

Par les différentes pratiques et entrainements, j’ai acquis sérénité, des moments de joie et de bonheur intenses, une motivation à me réaliser selon mes propres aspirations et une confiance en voie d’épanouissement. Ma vie de couple retrouve pas à pas harmonie et équilibre.

Je sais que je suis sur le bon chemin et que ce n’est que le début d’un parcours que je sais maintenant positif, en toute conscience de mon Etre profond et des immenses richesses qu’il recèle.
J’ai compris que la démarche Sophrologique et tous les exercices auxquels je souscris entièrement me donnent des outils et des ressources pour vivre mon quotidien dans la sérénité et le bonheur en s’ancrant à ma conscience et en devenant à force d’entraînements consciencieux des automatismes qui seront là, toujours présents pour m’aider dans toute mon existence à venir.
J’étais en recherche de reconversion professionnelle et avec ma pratique quotidienne de la Sophrologie et tous les échanges avec Me Lavrard, j’ai perçu que cette discipline était une voie de développement qui me correspondait viscéralement et que je souhaitais également pouvoir la transmettre à ceux qui sont en besoin de mieux-être, de recherche de Soi, d’un Soi authentique et épanoui et de solutions à leurs difficultés. Me voilà donc maintenant élève dans une école de Sophrologie Caycédienne où j’apprends avec bonheur et conviction à devenir Sophrologue.

Je reste bien sûr en contact avec Me Lavrard pour échanger sur mon parcours et mes avancées et à l’écoute de ses conseils et expériences riches en enseignements.

I......

© Françoise LAVRARDMentions légales

Patient en souffrance due à un accident


Bonjour à tous je vais vous faire part de mon témoignage à propos de mon expérience en sophrologie avec Mme Lavrard.

C'est avec une prise de recul monumentale que je vais me présenter : Entre mes 17-18 ans je me suis cassé une jambe, avec laquelle j'ai eu des complications qui m'ont presque tué...

Je m'en étais sortis en me disant que maintenant ma vie n'était plus importante, car j'aurai dû être mort !! Voici l'état d'esprit que j'avais à l'époque.

Aujourd'hui je suis un jeune homme de 26 ans. J'ai suivi un cursus universitaire jusqu'à mes 23 ans. J'étais plutôt bon élève. Je me trouvais très souvent sous pression. Celle-ci venait pour une grande partie de moi-même. Lorsque je travaillais, je souhaitais toujours faire au mieux. Je suis surement trop perfectionniste....

Rarement satisfait de mon travail, même lorsqu'on me disait que c'était bien, j'étais toujours très septique. Bien évidemment je gardais tout pour moi ! J'ai rarement eu confiance en ce qu'on me disait de 'positif', j'étais toujours dans le négatif. Qui dit 'étude' dit aussi stage en entreprise. J'ai fais des stages, qui m'ont dévoilé que le monde de l'entreprise était totalement différent de ce que je pensais.

Le dernier stage que j'avais effectué en entreprise était pour moi une expérience qui m'a fait tomber encore plus profondément dans mon gouffre de 'négativité'. Je me suis blessé physiquement de manière permanente à cause du stress et de mon total désinterressement à moi-même. En plus de cette période de stage en entreprise désastreuse j'ai eu deux décès dans ma famille, une grand-mère ainsi qu'une cousine germaine. Ceci n'avait pas amélioré mon moral, bien au contraire...

A cause des douleurs j'ai dû me faire soigner en faisant de la kinésithérapie. Mais bien évidemment les douleurs n'étaient soignées que temporairement. Mon moral était très bas...

Un an et demi après les deux décès, il y a eu le décès de mon grand-père avec qui j'étais très proche depuis toute mon enfance. C'était un choc, je suis tombé de haut, je n'avais pas réussi à faire mon deuil. J'avais l'impression d'être piégé dans un trou noir, je ne pouvais pas en ressortir. Je suis resté à 'pourrir' comme cela neuf mois environ, puis un jour chez mon médecin traitant j'ai craqué, j'en avais assez cette vie je voulais y mettre une fin...

C'est ainsi que mon médecin m'a conseillé de faire une thérapie ainsi que de la Sophrologie. Je m'accrochais à mes douleurs pour lesquelles aucune solution vivable à mes yeux était envisageable. J'avais eu beaucoup de mal à en parler à mon médecin. L'image que je m'étais faite lorsque j'en avais parlé était: "Une bouée de sauvetage lancée dans ma direction, en pleine mer avec aucune terre à l'horizon. Celle-ci pouvant me permettre de tenir plus longtemps en vie". Pourquoi une simple bouée ? Car je ne croyais pas au sauvetage. Je m'étais renfermé sur moi-même. Je ne souhaitais pas en parler, ni à la famille à cause de problèmes déjà existants, ni aux amis car je n'arrivais pas à accorder toute ma confiance à mes amis... J'en ai honte maintenant. A mes yeux aucune solution possible n'était envisageable pour vouloir rester en vie. Comme vous pouvez l'imaginer j'ai hésité quelques jours, ensuite je me suis lancé vers cette bouée en me disant : "Je n'ai rien à perdre, n'ayant rien d'autre à faire de plus utile en plein milieu d'un océan ...". C'est ainsi que j'ai rencontré Mme Lavrard.

Lors de ma première séance nous avons beaucoup discuté : des angoisses, peurs; toutes les choses négatives qui me venaient à l'esprit. A la fin de la sécance elle m'a confié un premier travail de respiration à faire quotidiennement avant de dormir, la Sophrologie est un travail à faire sur soi-même. Il me permet de trouver le calme. A la fin de la première séance je me suis rendu compte que j'avais besoin de changer, maintenant, pas un autre jour ! J'en avais assez de ce cycle infernal !

Suite à mes premières séances de Sophrologie j'ai commencé à me retrouver avec mon corps en passant par mon esprit. J'avais commencé un processus de paix avec moi-même. Je commençais à penser à mon bien, c'était quelque que j'avais plus fait depuis bien longtemps. Au fur est à mesures des séances nous avons affiné mes points 'faibles' qui me faisait basculer dans la négativité. Mme Lavrard m'a enseigné de nouveaux exercices à faire expulser tous les évènements non souhaitables qui me 'pourrissaient' la vie, ma vie ! Ces exercices que je pratique avec une écoute totale du corps et un relâchement de l'esprit me sont redoutablement efficace dans la vie de tous les jours.

J'avais l'impression de me re-découvrir sous un jour nouveau. Au fur et à mesure que le temps passait cela m'a permis de gérer mon stress, d'avoir plus confiance en moi, de vivre et d'avoir envie de vivre d'une manière différente, en mieux bien évidemment. L'esprit est une chose complexe qui peut dégrader le corps ou au contraire le stimuler pour aller mieux ! Maintenant je cherche de nouvelles choses à faire pour me sentir bien, je pense à moi.

Des douleurs ont même presque totalement disparues. Le suivis psychologique que j'avais suivi en parallèle m'a aussi beaucoup aidé. J'avais eu beaucoup de mal à parler de moi-même, c'était quelque chose de nouveau. Il m'a permis de me débloquer mentalement et surtout d'avoir le recul nécessaire qui m'a permis de prendre conscience de la situation dans laquelle je me trouvais. J'étais entrée dans ces situations 'négatives' de façon progressive. Ne pas se rendre compte de la descente au 'cachot' ou de cette 'éloignement de la terre lorsqu'on nage en pleine mer' est dangereux.

J'ai découvert la positivité, l'optimisme et une envie de vivre. J'ai fini par en parler à des amis. Je m'étais fait complimenter par amis, frère et soeur que j'avais changé!! et pas de manière négative !!! Je n'ai pas rejeté leurs remarques ! Je ne regrette pas d'avoir demandé cette bouée de sauvetage. Mon état s'est amélioré suite à des successions de petites victoires!!! J'espère en avoir encore beaucoup pour me sentir bien !! Ne jamais m'arrêter à rechercher le bon ! Je n'ai plus l'impression de poids lourd que j'ai trop longtemps traîné avec moi ! J'ai l'impression de m'envoler maintenant ! 'Light up the darkness' : Bob Marley.

Beaucoup de choses peuvent nous empoisonner la vie, mais on peut essayer et réussir à les renverser. 'The best way to destroy an enemy is to make him a friend' : Abraham Lincoln

Je remercie grandement Mme Lavrard qui à mes yeux est une guide qui m'a permis de voir le bon !

Y........

© Françoise LAVRARDMentions légales

Patiente souffrant de sclérose en plaque


En Janvier 2013, les médecins m'ont diagnostiqué une sclérose en plaque qui faisait suite à une année très éprouvante au niveau médical mais également personnel.

Ces différents problèmes m'ont conduit à chercher une méthode de "médecine parallèle" qui puisse m'aider à surmonter ces épreuves que je traverse et à mieux gérer la maladie.

J'ai rencontré en Septembre 2013 Françoise, qui est devenue ma sophrologue Caycédienne.

Cette rencontre a changé mon état d'esprit et m'a permis de mieux accepter la maladie car au début j'étais dans le dénie total jusqu'à refuser le traitement.

Au fil des séances , j'ai pris conscience et j'ai accepté.

Je constate une nette amélioration tant psychologique que physique.

Peu à peu je ressens un mieux être, un apaisement puis l’énergie qui revient.

Aujourd'hui, je vis beaucoup mieux la douleur, mon traitement et donc la maladie, le sommeil s'améliore également.

J'ai appris à lâcher-prise, prendre du recul, renforcer ma confiance en moi, maîtriser ma respiration, rejeter le négatif.

Savoir gérer cette fatigue constante et apaiser ce mal en comprenant son origine et avec le temps le soulager.

La sophrologie est donc bien plus qu'une simple pratique de relaxation, c'est une vraie discipline de développement personnel, visant à atteindre un meilleur équilibre au quotidien ( dans mon cas au sens propre comme au figuré !) et à améliorer sa qualité de vie en respirant mieux donc en se sentant mieux tout simplement.

Pour conclure , je la conseille à tous car cela permet de mieux se connaître:
- savoir écouter son corps
- gérer son stress
- renforcer sa confiance en soi
- développer respiration et concentration
- savoir se détendre
- gérer la douleur

Cette liste est loin d'être finie car la sophrologie est proche d'une philosophie de vie.

Voilà , je tenais à témoigner afin de remercier infiniment Françoise pour son soutien et sa générosité et surtout pour tous les malades: qu'ils ne perdent pas espoir.

Si mon exemple peut les aider à gagner le combat contre la maladie.......

V........

Françoise LAVRARDréalisé par Raphaëlle COLLO

Patient souffrant de Polyarthrite Rhumatoïde, Anxiété d’anticipation....


J’ai rencontré Françoise Lavrard suite à la recommandation de mon médecinl Je m’en souviens encore comme si c’était hier.
Mais d’abord, il faut que je dise comment j’ai débarqué dans son cabinet.

Je suis responsable d’un bureau d’étude dans une grosse société française, un travail plaisant qui m’a toujours demandé beaucoup d’investissement.
J’y suis arrivé après des études d’ingénieur qu’il faut bien qualifier de brillantes, une thèse de doctorat et une première expérience professionnelle prometteuse.
J’ai coutume de dire que j’ai commencé ma vie d’adulte comme un moine bénédictin, studieux et très sportif, solitaire, que je l’ai poursuivi avec ma femme puis mes enfants en remplissant ma vie avec intensité.

Et puis un jour quelque chose a craqué en moi.
Je me suis retrouvé à l’hôpital dans un piteux état et les médecins ont diagnostiqué une polyarthrite rhumatoïde qui s’est avérée être destructrice avec le temps.

Le choc ! Fin de l’aventure ! Fin de la réussite.

Je me suis retrouvé scotché au sol mais avec mon esprit opiniâtre, l’accompagnement permanent de ma femme, la joie de vivre de mes enfants, je me suis accroché, j’ai surnagé à l’anxiété ou l’inquiétude et j’ai reconstruit un mode de vie en apparence normal, avec une famille qui s’est centrée sur mon propre rythme parfois chaotique.

La polyarthrite est venue se greffer juste à côté de ce qui me touche le plus.
Je suis issue d’une famille qui a des problèmes héréditaire de cholestérol.
L’expérience des personnes touchées dans ma famille m’a marqué depuis ma petite enfance et m’a petit à petit amené à renforcer mon appétit pour le sport par une forme d’obligation, sous couvert d’avoir une bonne hygiène de vie.

Bridé par mes articulations régulièrement douloureuses, ce sont mes artères qui ont réellement commencé à me stresser.

Ce cocktail de douleur et de conflits entre protection de mes artères/protection de mes articulations a commencé à avoir un effet totalement délétère, passant par exemple par une tension artérielle de plus en plus élevée.

Mi 2011, je me suis retrouvé chez mon cardiologue, au comble de la tension artérielle, au maxi des dosages d’anti-angiotensine, en difficulté pour prendre d’autres classes de médicaments du fait de mes autres traitements et de mon cœur de cycliste, plutôt bas en fréquence.

Mon cardiologue, puis mon médecin traitant me distillaient à l’époque des messages sur mon stress.
J’ai passé l’été avec un anxiolytique léger qui s’est avéré efficace.
Je comprenais bien mon stress, je compris que si j’avais si souvent les larmes aux yeux, si je ne supportais pas la douleur des autres, c’est aussi que je n’étais pas aussi équilibré que je prétendais l’être.
Ma femme concluait souvent de mes debriefs de rendez-vous médicaux que je n’étais pas du tout malade.
Je la comprenais mais mon ressenti maladif dominait.

J’ai fait un peu d’études de psychanalyse et j’étais tout à fait ouvert à penser que je me mettais la pression seul, peut-être sans le percevoir.
Mais j’avais du ressort, je finissais toujours par repartir très fort. Je ne fuyais pas ce qui m’arrivait.
J’avais réellement l’impression de travailler à me mettre en confiance, en me servant d’éléments objectifs : performance physique, compte-rendu médicaux, etc...

Et puis en 2012, je me suis retrouvé avec des petits bobos inhabituels, pleins de petits soucis agaçants. Mon médecin traitant m’a glissé le numéro d’une psychiatre au cours d’une discussion. J’étais très ouvert à ce genre de démarche alors même si je ne me sentais pas détraqué, et malgré mon agenda surchargé, j’ai sauté le pas.

Ma psychiatre m’a reçu et a diagnostiqué très vite une anxiété d’anticipation : peur de tout ce qui va m’arriver, représentation traumatisante de mon avenir. Je ne profitais pas assez de la vie, stressait parce que je voyais un avenir noir et ne profitais pas du présent, etc... mais elle m’a trouvé très sain d’esprit, ayant du recul. Alors nous sommes rapidement tombésd’accord pour éviter les médicaments et tester une autre approche.

J’étais ouvert à ce type d’expérience, prêt à m’engager.

J’ai fini pas avoir un rendez-vous chez Françoise quelques jours plus tard.
Entre temps, un peu avant d’aller assister au passage du peloton du tour de France dans sa dernière étape, je me retrouvais avec une douleur intense à la poitrine à l’issu d’un faux mouvement.

J’avais un mal de chien mais je mettais ça sur le compte d’une petite déchirure intercostale.
Je profitais de l’étape en ayant quand même assez mal, sans me priver cependant de porter ma petite fille sur mes épaules, en continuant à m’amuser comme je pouvais.

Mais dès le lundi matin j’ai pris rendez-vous pour le lendemain avec mon médecin parce que je voyais bien que je n’allais pas m’en tirer facilement.

Et le soir j’ai fait ma première séance avec Françoise, une séance découverte déjà marquante :
- D’abord parce qu’à la première question qu’elle m’a posé pour cerner mon personnage, je me suis retrouvé soufflé, au bord des larmes ! Aie, j’ai une carapace, ça fait mal de la décoller.
- Ensuite parce qu’il fallait que je découvre la sophro de base, mais j’avais quand même du mal à respirer correctement, à gonfler ma poitrine !
Ainsi ont commencé les exercices puis les débriefs d’un bonhomme qui avait la prétention de très bien se connaitre, connaitre son corps, qui avait plein d’énergie, était toujours dans l’analyse profonde des choses et voulait toujours bien faire.

Deux qualités m’ont permis de me plonger dans ces séances et d’y trouver rapidement des bénéfices : je suis très curieux et toujours très à l’écoute de ce que l’on me dit.

Le lendemain, je suis passé chez le médecin traitant, puis le cardiologue, puis à l’échographie. Et voilà, je souffrais d’une péricardite !Je démarrais les séances avec un bel arrêt maladie de 7 semaines, et un excellent sujet de discussion pour travailler en sophrologie.

Je venais d’être touché dans ce que j’ai de plus cher : mon cœur, mon cœur de sportif réglé comme une horloge qui me rendais de merveilleux services et me donnait tellement de plaisir, sous couvert de m’éloigner de tous les maux que je voyais dans ma famille.

Les premiers exercices se sont centrés sur de la sophrologie de base et des exercices de visualisation.

Allongé chez moi, je coupais régulièrement la télé et le suivi des épreuves des jeux olympiques pour faire des respirations, ou écouter mes premiers enregistrements.

J’écrivais mes premières phéno-descriptions.

Elles étaient très centrées sur les images, les couleurs. Je voyais, je sentais les personnes qui interagissaient avec moi, dans mon passé, je ne les entendais pas. Les scènes étaient très réalistes.

Elles me renvoyaient à certains événements très présents dans ma mémoire, ou d’autres bien plus anciens.

Il y en a eu une en particulier où je me suis retrouvé dans une petite piscine gonflable de bébé, je devais avoir 3 ou 4 ans, et je voyais ma cousine rire aux éclats, je ressentais ma tante dans mon dos sans la voir ni l’entendre. Je suis très visuel.

Des scènes comme celle là, j’en ai fait ressortir pleins que je reprenais ensuite au long de mes journées.

Au début, je profitais de ces belles images dans lesquelles je me plongeais avec plaisir et en même temps je me posais beaucoup de questions sur le sens de tout ça.

Le côté rationnel en moi tournait toujours à fond.
Je faisais mes exercices de façon très assidue et en même temps passé le temps de la phéno- description je commençais à réfléchir énormément sur moi.

Comme beaucoup d’autres personnes à leur façon, Françoise me demandait de lâcher prise.

Je suis comme le papillon face à une flamme de bougie.
Je sentais miroiter plein de choses profondes, je voulais aller les chercher et les comprendre.

Avant de partir en vacances, pour ma quatrième séance, je passais sur la table de massage pour une inspection en règle.

Tiens, nous découvrons pleins de petits blocages : le haut du dos (plutôt fort), un muscle sous l’omoplate gauche, le ventre qui ne veut jamais se décontracter, 2 pointes douloureuses derrières les genoux, etc...

Je suis plutôt surpris. Je ne ressentais pas ces tensions, mais elles étaient là. Un nouveau chantier s’ouvrait.

Quand nous sommes partis en vacances en famille à la montagne, je n’étais pas du tout remis.
J’avais un feu vert du médecin pour le voyage, mais il fallait que je sois prudent, raisonnable.
J’alternais les journées de forme et celles d’extrême fatigue.

Un jour je gagnais la petite compétition de natation de la piscine de la station, et le lendemain j’étais pris d’un mal des montagnes en grimpant pour rattraper ma femme et mes enfants au sommet d’une télécabine.
Le mal des montagnes : quel effarement pour moi qui me suis toujours senti totalement adapté à cet univers, toujours à courir dans les montées ! Perdu seul dans la pente, je me suis retrouvé au pied du mur.
Mon cœur battait la chamade , il ne voulait pas redescendre. Mes jambes tremblaient d’hypoglycémie. Pour la première fois, la sophrologie m’a rattrapé. « Calme toi, respire, redescend tranquillement ». Avec patience, beaucoup d’écoute et une certaine inquiétude, je suis arrivé à redescendre épuisé au bas du télécabine.

Je me suis reposé une bonne heure avant de me dire que je devais absolument essayer de remonter retrouver tout le monde.
Quand je suis monté dans la télécabine, seul dans une bulle, j’ai été pris de panique.
Trop tard, les portes se sont fermées, je montais.
Alors je me suis assis au sol, et j’ai commencé des respirations ventrales pour me calmer. Je me suis parlé, fort, très fort.

J’ai été surpris par ce réflex très naturel. J’étais sur un premier basique de mes exercices avec Françoise que j’avais un peu détourné pour l’urgence.

Et ça a marché. Quand je suis arrivé au sommet, j’étais redevenu calme, mes respirations étaient profondes, j’étais heureux, très fier d’être là. La vue était magnifique.

Ce fut le premier signe tangible de l’effet de la sophrologie sur moi. Je n’en avais pas besoin pour être motivé, mais rendre mes exercices tout d’ un coup aussi concret a été un vecteur de motivation très fort.

Quand je suis rentré de congés, je suis passé voir mon cardiologue pour un bilan péricardite. Il a compris très vite que j’avais subi tout l’été les effets secondaires des statines que je prenais pour équilibrer mon cholestérol, et pas seulement eu le contrecoup fatigant de la péricardite.

J’arrête ce traitement de façon définitive. De nouveau, je me suis retrouvé sans filet, atteint sur ce qui me tenaitle plus à cœur dans ma santé.

Il n’y avait plus que mon hygiène de vie pour m’aider à lutter contre les risques qui m’entouraient.
J’atteignais le summum du stress, je ressentais le choc émotionnel, je le décrivais très bien. Ma psychiatre ne variait pas de sa ligne.

Je me plaisais en sophrologie, je devais continuer, j’allais y arriver.

Pendant de très nombreux mois, très régulièrement, j’ai continué les séances avec Françoise, parfois pour développer de nouveaux exercices, parfois pour faire des débriefs assez complets et recevoir certains conseils, certaines remarques.

Je faisais bien mes exercices, je progressais bien dans ma maîtrise de ce côté-là. Mais à côté j’avais des comportements, des habitudes, des paroles qu’il fallait absolument corriger.

J’avais des manifestations physiques qui montraient que je drainais un très gros stress : respiration souvent difficile, oppressée, nuits peu récupératrices, tête douloureuse.
Les articulations allaient plutôt bien mais le reste ne suivait pas.
La perception du stress était nette, mais je n’étais pas encore capable de bien agir. Françoise m’a appris plusieurs techniques, des points d’acupuncture à activer par exemple.

Au travail, je me faisais des micro-massages quand je me sentais trop fatigué.
Je fermais régulièrement les yeux assis à mon bureau et effectuais quelques respirations coupées du monde, pour me détendre.
J’apprenais à faire des SDN, des substitutions.

Le soir, je passais beaucoup de temps à faire mes exercices à côté de ma petite fille. Pendant qu’elle s’endormait, j’écoutais l’un de mes enregistrements de sophrologie et je dérivais dans les sphères de mes visualisations, du soleil qui me chauffait les épaules. Un bien être s’installait toujours dans ces séances.

Mais je constatais toujours que je redevenais fragile très vite une fois l’exercice terminé. Alors il a fallu débriefer encore et encore avec Françoise. Je me suis fait souvent corriger dans mon langage qui montrait que je n’avais pas les bonnes représentations, que je réfléchissais trop, que je cherchais trop à comprendre et pas assez à ressentir.

Quand arrivèrent les fêtes de noël cette année-là, j’avais l’impression d’avoir gagné quelque chose. Je réalisais des séances de sport mémorables.

Et puis, le 31 décembre, une très forte douleur de poitrine m’a surpris en plein petit déjeuner.

J’aurais dû avoir peur, mais non. Allongé dans le canapé chez des amis, j’étais à l’écoute, je plongeais en moi pour observer ce qui m’arrivait. Je sentais de la finesse dans mon approche. J’avais vraiment mal, mais je ne ressentais pas de gravité dans ma douleur.

L’après-midi, je filais à la piscine me détendre. J’étais incapable de faire quoi que ce soit, je n’arrivais pas à me décontracter. Je n’étais toujours pas inquiet, sauf que j’avais trop mal. Je multipliais les petites séances de SDN. Les exercices me faisaient du bien, mais je n’avais aucune latence.

J’ai fini par participer au réveillon en faisant le DJ du fond d’un canapé, à ne pas pouvoir bouger.

Le lendemain, je me suis décidé à aller aux urgences. On m’a déposé devant l’hôpital et je me suis présenté seul à l’infirmière de l’accueil qui m’a tancé vertement d’être venu seul et aussi tard. Merci de me stresser madame. Je me suis retrouvé dans la salle « chaude », celle des cas critiques. Tension haute, stress accru par mes voisins en piteux états. Impossible de me mettre à des exercices de respirations.

J’ai sorti mon bloc note et commencé à écrire, pour essayer de donner du sens à tout ça, écrire quelque chose que mes enfants pourraient lire un jour si vraiment cela devait être grave. J’ai eu le temps d’écrire.

Et puis l’ECG a été impeccable, les radios aussi, la prise de sang parfaite. « Vous pouvez sortir, tout est ok, c’est juste une douleur pariétale. Je vous donne du paracétamol . - Douleur pariétale ? Qu’est-ce que cela veut dire ? - Que vous avez mal à la poitrine. Ca peut être du stress.»

Quel choc de se dire qu’une fois de plus je subissais un stress intense que je n’avais pas perçu. J’ai tenu le coup jusqu’à ce que ma femme me récupère pour sortir de l’hôpital. Je me suis effondré dans ses bras. Accablé ! J’ai fait du mal à tout le monde, provoqué tellement d’inquiétude pour se dire que finalement c’était toujours ma tête qui me jouait des tours. Mon cousin était avec nous dans la voiture. Ces mots m’ont marqué. « Tu es le plus pur d’entre nous, le plus strict sur tous les plans. C’est des conneries tout ça. Laisse toi vivre. »

La douleur s’est accrochée à moi pendant un mois, et m’a renvoyé à mes soucis respiratoires. Ma fatigue est revenue. Mais quelque chose avait changé. D’un côté je subissais des assauts. De l’autre je les cueillais avec les outils dont je disposais. Ma perception s’était accrue. Je prenais du recul. Je ne laissais pas les mauvaises pensées m’attraper. Je les substituais très vite. Lorsque j’allais au travail en voiture, je coupaisla musique, la radio. Je respirais et me parlais doucement. Je me félicitais, reprenais des scènes plaisantes des jours passés et prenais le temps de me dire ce qui m’avait plu. Quand je faisais du vélo ou du roller le soir, je prenais parfois le temps de m’arrêter pour lancer des cris profonds et me parler avec force. Il faut être un peu fou pour faire ça ? Pas quand on voit le résultat. Je sentais une confiance monter. Je perdais les a priori d’échec, j’abandonnais progressivement les projections négatives. A force de me féliciter de ce que je faisais, de ce que je construisais, de mes réussites, mon approche se transformait.

Concrètement, quand arrive le mois de juin, presque un an après ma première séance, j’ai baissé de 2 classes mon traitement pour la tension, je suis dans une forme éblouissante, je suis reposé.

J’ai l’impression de capter, sentir pleins de choses un peu nouvelles, un peu sans doute comme le fumeur qui s’arrête et retrouve le goût et les odeurs. Un sacré cap est franchi.

juillet, je me suis fait déborder d’un travail très stressant. Je devais m’occuper de toutes les facettes d’un problème épineux, très exposé, alors que plusieurs collègues étaient en vacances. Je me fatiguais. Je sentais que mon sommeil n’était pas réparateur, que je commençais à avoir des petites manifestations piquantes au niveau des poignets et d’une hanche.

La maladie, qui était largement en rémission, pointait de nouveau son nez. Je l’ai gérée avec tous les outils à ma disposition. J’avais acquis beaucoup de confiance en moi, beaucoup de sensibilité. Je ne ressentais rien de grave et me disais que les vacances allaient me permettre de revenir à un état normal.

C’était la première fois que je gérais une poussée comme cela, plutôt calmement, en allant décontracter par des exercices de respirations tout ce que je trouvais contracté, en faisant beaucoup de substitutions, en allant regarder de l’intérieur mes points de douleurs.

Le mois d’aout a été un mois de vacances, un mois sportif en bord de mer. Les douleurs au poignet ne se résorbaient pas vraiment, même si elles ne me gênaient pas. Je n’étais pas inquiet, même si je prenais beaucoup de précautions. Je passais du temps assis au bord de mer, les yeux fermés à apprécier l’instant : le bruit de la mer, le vent qui m’effleurait les joues, les odeurs d’algues alentours, etc... J’étais très sensible à tout ce qui se passait, je souriais en percevant tout ce qui m’entourait. Et tous les après-midi, je partais faire du kayak de mer. Je tenais ma douleur au poignet à un niveau acceptable. L’effort était doux, il y avait peu de risque que je me retrouve en mauvaise posture au milieu de l’eau. Et je passais un excellent été malgré cela.

Si je regarde cette période quelques mois après, c’est d’abord pour souligner avec fierté à quel point j’ai réussi à changer d’état d’esprit par rapport à ma maladie : j’avais beaucoup plus confiance en moi, je stressais bien moins facilement, je ne prenais pas tous les signaux que m’envoyait mon corps comme des signaux graves.

J’avais le droit d’être fatigué, d’avoir des coups de moins bien, sans que forcément ce soit à cause de ma maladie qui voudrait se relancer. Courant septembre, alors que mes poignets étaient toujours un peu douloureux, je m’amusais en fin de journée à une partie de badminton avec les enfants. Je me suis pris au jeu un instant et j’ai lancé par inadvertance le volant d’un grand coup de poignet.

La douleur arrive, comme une piqure et un craquement. Je venais de faire une grosse erreur d’inattention. Ce fut le point d’entrée d’une rechute qui va durer environ 6 mois, la troisième depuis que je suis malade. Celle-là sera particulière. Sa nouveauté : à chaque fois j’ai l’impression d’être un peu en avance par rapport à ce qui va m’arriver, d’arriver à anticiper. Mais anticiper n’est pas enrayer. Ca ce sera plus long. Mais au moins, arriver à anticiper veut dire continuer à vivre avec le sourire, sans trop porter le fardeau fatiguant des douleurs permanentes, modérée cette fois-ci. Bien sûr, au quotidien je suis affecté, avec des coups de mous.

Il y a des choses que je ne peux pas faire, et peut-être des moments où je suis de mauvaise humeur. Mais j’ai de la patience, j’arrive à gérer mon stress.

Cette période fut l’occasion pour moi d’appuyer sur un point qui faisait mal et sur lequel je ne progressais pas. Sportif, toujours sportif. Mais je pensais être d’abord dans le dépassement de soi. Je croyais avoir à travailler sur mon caractère excessif dans l’accomplissement personnel.

Au détour de quelques séances de sport assez particulières, j’ai découvert que je raisonnais aussi compétition, que je n’abandonnais pas, même diminué, mon envie spontanée de me mesurer aux autres, sous couvert de me faire plaisir.

Cet excès-là, Françoise m’en parlait régulièrement depuis des mois.
Cela transparaissait dans nos débriefs. Mais voir que c’était un réflex même quand je passais mes journées à travailler sur des douleurs qui étaient toujours là était choquant : cela ressemblait à une forme de suicide.

Les mois de septembre à février vont être consacrés à la prise en charge de ma poussée : très nombreuses SDN, exercices très fréquents de substitution, beaucoup de bilans en fin de journée à souligner le positif au quotidien, beaucoup de petits exercices de méditations simples, de respirations simples en toutes circonstances, et sur le plan physique augmentation des exercices d’assouplissement.

Petit à petit, les exercices se sont transformés et je réalisais un peu plus de séances où je touchais et cherchais à ressentir ce qui se passait dans mes genoux ou mes poignets. Le toucher chez moi est toujours très fort pour effacer les mauvaises sensations, le temps du toucher. Mais en me concentrant sur ma perception, j’arrivais aussi à ressentir un peu plus en profondeur ce qui se passait, à parler à l’articulation, à la rassurer et me rassurer aussi.

Tout n’est pas idéal, et parfois l’exercice à ses limites. Début février, je me suis retrouvé à l’hôpital à cause d’une œsophagite aigue. Mon traitement est agressif pour l’estomac. Je le sais. Mais j’ai mal interprété un signe. J’ai cru avoir un début d’angine, j’ai attendu un peu avant de voir un médecin, et finalement l’œsophagite est devenue tout à coup insupportable. Cette expérience m’a montré deux choses :
- D’abord que dans tous les cas je dois aussi prendre garde à respecter scrupuleusement les consignes de mes médecins. Je ne m’étais pas relâché. Mais j’avais un peu oublié certains risques dont on me parlait régulièrement.

- Ensuite, perdu à l’hôpital dans une antenne qui était un vrai mouroir, j’ai bien vu que tous mes exercices de sophrologie étaient inefficaces. Il y a encore du travail. Quand certains seuils de stress ou de lassitude sont franchis, il faut se contenter des petits effets que me procurait la sophrologie à mes débuts, accepter de ne pas réussir à se concentrer suffisamment au milieu des cris et geignements ambiants. Au moins j’ai retenu de cette expérience un bel optimisme, en opposition avec l’attitude circonspecte des médecins qui ne me connaissaient pas et, voyant mon dossier médical, considéraient rapidement que j’étais un cas grave.

A partir du mois de mars, j’ai commencé à considérer que la maladie refluait. J’avais encore des manifestations, je suis de toute façon atteint de pointes d’arthrose par endroit. Mais je ressentais la consolidation qui progressait. Je commençais à avoir vraiment peur de ce qui allait se passer quand je me sentirais totalement remis : peur des excès, peur de me faire simplement mal à vouloir aller trop vite, etc... Je change un peu mon approche de l’effort : je me fixe des objectifs. Ou plutôt je démarre certaines séances en me demandant à partir de quelle « performance » je vais considérer que j’ai fait quelque chose de bien. Je me sers de ces repères pour valoriser le niveau atteint, et essayer de façon raisonnable de lever le pied une fois l’objectif atteint. Ce n’est pas du tout naturel chez moi. Mi juin, c’était hier, je pars pour une sortie vélo sous un soleil éclatant. Il y a des cyclistes partout que je croise. D’habitude, je saute de groupes en groupes, tente de lâcher ceux que je rattrape, ou m’accroche aux plus rapides qui me doublent, par jeu. Cette séance-là est totalement différente : je ressens d’abord le plaisir d’être là au milieu de tous ces gens. J’en laisse filer un me disant qu’il va trop vite, j’en double un petit paquet également sans chercher à les assommer. Je passe plusieurs séquences à simplement rire d’être là et sentir que tout va bien. Dans la cote d’après je me mets un peu la pression, pas trop, et observe mes genoux avec bienveillance. Pas de compteur, pas de cardio-fréquencemètre. Tout à la sensation. C’est la première fois que je roule avec un plaisir qui vient d’abord de la satisfaction de sentir que je suis une mécanique bien huilée, joueuse, qui choisit de s’engager ou pas en toute liberté.

Est-ce que j’ai réussi à acquérir cette part de sagesse que je cherchais depuis presque un an ? J’ai l’impression que c’est d’abord une nouvelle représentation de moi qui est à l’œuvre : de la confiance, de la bienveillance, une meilleure prise en compte de mes capacités, une meilleure aptitude à valoriser ou remercier ce qu’il y a de bien en moi. Vu de l’extérieur, rien ne change. Vu de l’intérieur, c’est un autre monde. C’est un changement de valeur, alors sans doute est-ce durable.

C’est le moment de faire le bilan. J’espère que l’évolution est sensible entre le début et la fin de mon témoignage. On ne parle plus de la même chose. On parle de choses anodines en apparence, mais peut-être est-ce plutôt la base de tous mes problèmes, de certains de mes mauvais excès qui ont contribué à un dramatique cocktail à un moment clé pour moi il y a quelques années.

La sophrologie m’a beaucoup aidé, par un chemin très indirect, pas du tout linéaire, qui mène à la fin à une modification de la perception de soi, un changement dans la représentation de soi, et des pratiques qui permettent d’entretenir une vision positive de soi et des événements.

Tout n’est pas parfait. J’ai par exemple encore beaucoup de travail dans la perception de mon enveloppe (externe). Et donc l’histoire continue.

G.........

Françoise LAVRARDréalisé par Raphaëlle COLLOMB - Mentions légale

Patiente souffrant de crise d'angoisse


C’est sur conseil de mon médecin généraliste que je suis arrivée chez Mme Lavrard.

A ce moment, au plus bas de ma forme, dépourvue complétement de résilience, je suis submergée par un état permanent d’angoisse qui commence à se manifester par des malaises vagales et des réactions d’évitement à toute situation anxiogène.

Le quotidien déjà difficile se complique par la préparation d’un projet important de départ à l’étranger en famille pour un an.

Mon médecin estime qu’une prise en charge avec médicaments n’est pas appropriée et me propose la sophrologie.

Je ne connais pas. J’y associe les mots respiration, relaxation. Mon médecin me dit que Mme Lavrard, compétente et expérimentée, pourra m’aider à reprendre contact avec mon corps, aller là où un médecin généraliste ne peut pas.

Je veux essayer. J’en suis à ma cinquième séance avec madame Lavrard, à près de trois mois de pratique quasi quotidienne. Les séances, au rythmes d’une séance toutes les deux semaines, sont longues, rondes, abouties, apaisantes.

Après un entretien initial où je mets tout sur table, dans le désordre, dans l’agitation, presque dans l’urgence, Madame Lavrard me conduit sur un chemin simple et exigeant à la fois, qui tient compte de très près de tout ce dont ma vie est faite, famille, départ, passé, intérêts, lectures, envies, démons...

La pratique est progressive, se construit une séance après l’autre et se poursuit impérativement à la maison sous peine de pas en voir les résultats. Je (re) prends contact avec mon corps, je me force à la concentration.

Respiration consciente, visualisation, intégration d’états de calme, évacuation du stress, de pensée négatives, d’états d’esprit polluants, de constructions mentales fausses. Rééquilibre du mental, du corps, des deux à la fois. Relaxation des tous les systèmes.

Tous se construit et prend place. Je m’en approprie à la maison. J’expérimente et je découvre. Beaucoup de place est laissée à l’analyse de la pratique personnelle : Mme Lavrard écoute attentivement le vécu de la pratique. Là où on boute, là où on avance. Elle m’encourage à l’observation, à l’acceptation, à la bienveillance, à la prise de conscience, à la présence à soi et aux autres.

Elle insiste sur les immenses possibilités qu’une pratique sincère et assidue ouvre : possibilité de faire face à des situations plus ou moins difficiles par la mise en œuvre d’outils simple de respiration, de visualisation, de présence à soi, d’attention à la vie. Possibilité d’avancer en se tenant droit debout. Possibilité de surmonter des états d’agitation en observant son corps, sans fuir, sans juger.

Je ne suis qu’au début, je cherche encore et au même temps le positif que j’entrevois, les ressources que j’arrive à mobiliser, la prise en charge de mes émotions, la respiration dans tous ses états sont autant d’expériences fondatrices qui me remplissent d’espoir.

S...

Françoise LAVRARDréalisé par Raphaëlle COLLOMB -

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